Critique de « Loin des yeux, près du cœur » de T. Lenain par Cécile Marmousez

Hugo est un jeune garçon qui est aveugle de naissance. Un jour il en a marre d’être dans une école spécialisée et décide de demander à être dans une école avec des voyants. On lui trouve une place dans une école et tout de suite cela se passe bien avec ses camarades. Le premier jour à la cantine il rencontre Aissata qui l’aide à manger. Ce fut le coup de foudre. Mais comme Aissata est africaine et donc a une peau noir et non blanche comme tous ses autres camarades elle est mise de côté et dès le moment où Hugo avoue ses sentiments à ses amis ils le mettent également de côté. Aissata et Hugo ne perdent pas de temps et en profitent pour encore plus se rapprocher car se fichent des préjugés des autres, eux, ils s’aiment est c’est le principal. Mais Aissata n’étant pas française,sa famille et elle se sont faits expulsés de France.

Hugo et Aissata se sont faits donc des promesses comme de s’écrire, de se marier un jour, de s’attendre. Ils s’écrivent et puis du jour au lendemain Hugo n’a plus aucune nouvelle d’elle.

Mais cela n’empêche pas que Hugo ne l’oubliera jamais et espère que ce livre arrivera un jour dans ses mains car il a écrit cette histoire pour elle qu’il n’oubliera jamais car pour lui aujourd’hui encore, « le jaune c’est comme le soleil qui chauffe la peau, le vert comme le parfum de l’herbe mouillée le matin, le bleu comme l’océan quand tu es devant ». Les couleurs sont donc toujours restées pour lui les descriptions magiques de leur amitié , de leur amour.